





50 ans, l'âge d'or ?
Ou la face B d'un grand album des Beatles. C'est en tout cas ainsi que Drew Barrymore envisage la moitié d'une vie. Sur son tout dernier post Instagram, abondamment commenté et relayé, la superstar hollywoodienne retirée des écrans de cinéma au profit des plateaux de télé (celui de son émission très suivie) nous offre son plus grand sourire... Et un message destiné à toutes les femmes quinquas.
"50 ans c'est magique... C'est la face B d'une vie", y commente l'actrice, en description d'un selfie hyper solaire où elle apparaît sans makeup et sans filtre... Juste une grosse dose de bien être en évidence. Autoportrait très intime et optimiste mais aussi, quelque part, politique à sa manière, si si...
Jolie démonstration de sororité que ce selfie.
Drew Barrymore s'adresse à toutes les femmes en célébrant, au naturel, les vertus de l'âge. Alors même que les quadras, quinquas, sexas et plus, sont progressivement exclues de la société patriarcale où elles évoluent. Opportunités professionnelles qui se réduisent à peau de chagrin, inégalités genrées qui s'accroissent, injonctions à d'impossibles diktats de beauté de plus en plus douloureuses...
Drew avec cette photo envoie tout valdinguer... Comme Pamela.
Difficile effectivement de ne pas voir le lien entre Drew et Pamela Anderson, qui vit aujourd'hui son grand come back à Hollywood après une très longue traversée du désert, et que Drew a par ailleurs récemment invitée sur son show. Assisses sur un canapé, elles se sont adonnées... A une réjouissance séance de no makeup : se débarasser de toute trace de maquillage pour vivre librement.
Tendance féministe que Drew Barrymore semble encore revendiquer aujourd'hui.
A l'instar de "Pam" qui a ces dernières années milité pour une meilleure considération des femmes quinquas et sexas, de la beauté naturelle, et une réhabilitation des sex symbol, la star de Charlie's Angels paraît plus lumineuse que jamais et émancipée de nombreuses pressions environnantes... Depuis qu'elle s'est éloignée de l'industrie et de son sexisme.